Wendy Williams conteste avec force son diagnostic de démence frontotemporale
Wendy Williams persiste et signe en affirmant qu’elle ne souffre pas de démence frontotemporale.
L’ancienne animatrice de talk-show a qualifié son diagnostic de « répugnant » et « faux » lorsqu’elle a appelé « The Breakfast Club » mercredi.
“C’est une chose très rare pour quiconque d’avoir,” a-t-elle poursuivi, ajoutant, “Je ne suis pas incapable. Je ne suis pas un bébé.”
Une demande d’évaluation médicale supplémentaire
La tutrice légale de Williams, Sabrina Morrissey, a réagi au déni public en demandant une nouvelle évaluation médicale pour Williams dans un dépôt judiciaire quelques heures plus tard.
“Dans ces déclarations, [Williams] a indiqué que, selon elle, elle ne souffre pas de démence et n’est pas incapable,” indique le dépôt judiciaire obtenu par People.
Morrissey demande “une nouvelle évaluation médicale qui impliquera des tests neurologiques et psychologiques complets par un spécialiste du domaine,” selon les documents judiciaires.
Un diagnostic controversé
La tutrice a affirmé que le “diagnostic formel” de Williams provenait de médecins du Weill Cornell Medical Center, indiquant que la quadragénaire souffre de démence frontotemporale (DFT) et d’aphasie progressive primaire (APP).
De plus, le dépôt indiquait que l’état de Williams “ne fera qu’empirer et qu’il n’y a pas de remède. »
Des poursuites et des déclarations
Le dépôt de Morrissey abordait également le procès intenté contre A&E Television Networks, Lifetime Entertainment et d’autres affiliés après la diffusion de la série documentaire “Where Is Wendy Williams?” en février 2024.
“Nous écrivons cette lettre aujourd’hui car, lors d’une interview radio ce matin, [Williams] a discuté de l’affaire A&E en détail et a semblé indiquer qu’elle ne souhaitait pas poursuivre l’action,” indique le dépôt.
“La question de savoir si [Williams] a la capacité d’évaluer ce qui est dans son meilleur intérêt mérite une nouvelle considération attentive de la part d’experts qualifiés, et ne devrait pas être laissée à des spéculations imprudentes dans les tabloïds, à la radio ou sur Internet,” ajoute le dépôt.
Des rebondissements judiciaires
En janvier, Williams aurait renvoyé son avocate désignée par le tribunal, Linda Redlisky, alors qu’elle tente de mettre fin à sa tutelle.
Le renvoi est intervenu moins de deux semaines après que la famille de Williams ait déclaré rechercher un avocat “estimé et honnête” pour représenter l’ancienne animatrice de télévision dans sa bataille juridique.
Le mois dernier, Williams a affirmé sur “The Breakfast Club” qu’elle était “piégée” dans un établissement de soins assistés à New York.
“Je ne suis pas atteinte de troubles cognitifs, mais j’ai l’impression d’être en prison,” a-t-elle déclaré à l’époque.
“Je suis définitivement isolée. Parler à ces gens qui vivent ici, ce n’est pas ma tasse de thé.”
Williams a également affirmé qu’elle n’avait actuellement que 15 $ en poche en raison de la tutelle légale.
