Justin Baldoni accuse Blake Lively de l’avoir banni de la première de « It Ends With Us »
Justin Baldoni affirme que sa co-star dans « It Ends With Us », Blake Lively, a tenté de l’empêcher, lui et son équipe de Wayfarer Studios, d’assister à la première du film en août, au milieu de leur querelle.
D’après la plainte en justice de 250 millions de dollars déposée par l’acteur contre le New York Times, Lively aurait initialement refusé de permettre sa présence à l’événement pour « saper » le rôle de Baldoni en tant que réalisateur, producteur exécutif et star du projet.
Lutte pour la reconnaissance
Après une pression significative, elle aurait finalement accepté de permettre à Baldoni et à l’équipe de Wayfarer d’assister à l’événement, mais sous des conditions humiliantes, selon les documents judiciaires obtenus par The Post.
La plainte allègue que l’équipe de Wayfarer, y compris Baldoni et le producteur Jamey Heath, a été séparée du casting principal, interdite de l’after-party exclusive, et contrainte d’organiser leur propre événement à des coûts supplémentaires.
La participation de Baldoni sur le tapis rouge a été écourtée, et sa famille et ses amis ont été confinés dans une zone de rétention improvisée dans le sous-sol avant d’être escortés dans une salle de cinéma séparée après le départ de Lively.
Un différend public
La plainte déposée par l’ancienne star de « Jane the Virgin » affirme en outre que Lively, 37 ans, aurait « volé le film » et privé Baldoni et son équipe de toute opportunité réelle de célébrer leur travail acharné.
Baldoni, âgé de 40 ans, affirme que le snob présumé était l’un des nombreux gestes de Lively visant à le « marginaliser systématiquement » de la promotion de son propre film.
Des allégations graves
Le réalisateur de « Five Feet Apart » mentionne également le mari de Lively, Ryan Reynolds, dans la poursuite.
Les documents affirment que Baldoni et Wayfarer Studios craignaient de plus en plus ce que Lively et Reynolds étaient capables de faire, car leurs actions semblaient viser à détruire la carrière et la vie personnelle de Baldoni.
En plus d’accuser Reynolds de l’avoir harcelé lors d’une confrontation agressive pour avoir soi-disant « fat-shamé » Lively, l’acteur affirme également dans les documents judiciaires que la star de « Deadpool & Wolverine » a persuadé l’agent de Baldoni de le laisser tomber en tant que client.
Des démentis et des contre-attaques
L’ancienne agence de Baldoni, WME, qui représente également Lively et Reynolds, a nié l’allégation dans une déclaration au Hollywood Reporter mercredi.
Page Six a contacté le représentant de Reynolds pour obtenir un commentaire.
La plainte en justice de Baldoni contre le New York Times pour diffamation et atteinte à la vie privée coïncide avec le dépôt formel d’une plainte de Lively contre lui pour harcèlement sexuel présumé, représailles, rupture de contrat, infliction de détresse émotionnelle, atteinte à la vie privée et pertes de salaire.
Baldoni a précédemment nié des allégations similaires à celles avancées par Lively dans sa plainte déposée en Californie.