Le scandale entre Blake Lively, Justin Baldoni et la journaliste Kjersti Flaa
La journaliste Kjersti Flaa a nié toute implication dans la prétendue campagne de diffamation de Justin Baldoni contre Blake Lively après que son interview « cauchemardesque » avec l’actrice soit devenue virale.
Flaa a expliqué qu’elle était « choquée et consternée » en lisant la plainte explosive de Lively, 37 ans, contre Baldoni, 40 ans, l’accusant de harcèlement sexuel sur le tournage de « It Ends With Us » et d’avoir coordonné une campagne de diffamation pour ruiner sa carrière.
Les réfutations de Kjersti Flaa
La journaliste a également pris la parole sur YouTube pour répondre aux allégations selon lesquelles elle aurait été impliquée dans les prétendus plans de l’acteur de « Jane the Virgin » après avoir été mentionnée dans un article du New York Times sur la plainte de Lively.
Flaa a réitéré que son interview de 2016 avec Lively et sa co-star de « Café Society », Parker Posey, n’avait pas été une bonne expérience, l’actrice ayant commenté son « petit bourrelet » et semblé ignorer la journaliste tout au long du segment.
Les allégations contre Justin Baldoni
Vendredi, Lively a déposé une plainte contre Baldoni, affirmant qu’il y avait eu une réunion « tous ensembles » concernant le comportement de l’acteur sur le plateau du drame sur la violence domestique adapté du livre à succès de Colleen Hoover.
Selon la plainte, Baldoni aurait montré à Lively des photos de femmes nues, parlé de son passé d' »addiction à la pornographie » et discuté des parties génitales de l’équipe.
Les démentis de Baldoni
Bryan Freedman, avocat de Baldoni et de Wayfarer Studios, a nié les allégations, qualifiant les accusations de Lively de « complètement fausses, scandaleuses et intentionnellement sensationnalistes dans le but de nuire publiquement et de ressasser un récit dans les médias ».
Les rumeurs d’une querelle entre Lively et Baldoni ont commencé à circuler en août lorsque les fans ont remarqué qu’ils ne promouvaient pas « It Ends With Us » ensemble.
Lively a cependant été critiquée pour ne pas avoir abordé les problèmes de violence domestique du film lors de sa promotion, préférant promouvoir sa gamme de soins capillaires, Blake Brown, et sa marque d’alcool, Betty Booze.
